jeudi 2 avril 2009
Conclusion provisoire de notre réflexion
Objectivement, les églises se vident. Mais, cela ne voudrait certainement pas dire que les gens soient devenus moins croyants qu'autrefois. Des signes d'espoir existent même parmi les jeunes générations ; en témoignent les nombreux mouvements des jeunes chrétiens, comme le FRAT, les MEJ (Mouvements Eucharistiques des Jeunes), les pélérinages, les communautés nouvelles, etc.
Allez voir les liens à droite sur notre blog pour le FRAT et les MEJ , si ces thèmes vous intéressent.
L'importance de la formation chrétienne aujourd'ui



vendredi 27 mars 2009
L'aumonerie de l'Institut Catholique de Paris: quelques informations
Cette aumonerie est ouverte aux étudiants des facultés et organismes de l'Institut Catholique de Paris. C'est un lieu d'échange et de découverte de la foi.
Située au cœur de l'Espace Vie Etudiante dans la Cour d'Honneur du 21 rue d'Assas, elle vous invite à vivre l'année universitaire avec d'autres étudiants soucieux d'approfondir leur foi et de mieux connaître le Christ.
L'aumônerie de l'Institut Catholique de Paris est affiliée à la Mission Etudiante et au réseau Chrétiens en Grande Ecole. A ce titre, elle participe aux grands évènements catholiques étudiants de Paris : messe des étudiants en novembre, pèlerinage de Chartres en avril, confirmation des étudiants à Saint Germain des Prés en juin….
Elle propose un accueil tous les jours à l'heure du déjeuner, l’animation des messes du mardi à Saint Joseph des Carmes et de multiples activités proposées par les étudiants (adoration du Saint Sacrement, groupe de prière à la manière de Taizé, ciné-débat, soutien scolaire, pèlerinage sur la route de Saint Jacques de Compostelle, etc…).
Vous trouverez toutes les actualités de la vie de l’aumônerie sur le blog de l'Aumônerie. (http://aumonerie-icp.blogspace.fr/)
Allez le visiter afin de vous faire une idée....
jeudi 26 mars 2009
Les valeurs...
Toutes ces questions peuvent amener à une réflexion très intéressante: Donnez nous vos ressentis...
L'aumônerie...



Suite de la rythmo catéchèse (ou rythmocatéchèse)

Cela correspond à la mémorisation orale et rythmique des Evangiles.
Le corps a une importance primordiale dans l'éveil à la foi des jeunes enfants. Les mouvements, le rythme, les gestes les invitent à vivre une démarche spirituelle de tout leur être et les aident à unifier le corps, le coeur et l'esprit. La gestuelle crée un lien entre le corps et la parole de Dieu, elle ouvre des chemins à la prière. Plus qu'un moyen d'intériorisation, c'est une pédagogie qui vise la construction de la personne et la relation avec dieu. se fondant sur la pédagogie des " pèlerins danseurs ". Les auteurs proposent ici une série de gestuelles simples, expliquées et illustrées. Elles permettront aux enfants d'apprendre à s'apaiser et se stabiliser, à s'orienter dans l'espace, à se mettre debout pour écouter et à percevoir le souffle qui les anime. Chacun trouvera ensuite une façon personnelle et créative de déployer sa prière dans l'espace, et chaque geste deviendra source de joie.

jeudi 19 mars 2009
Quelques méthodes de transmission
En effet, former chrétiennement, c'est être la voix qui indique la Voie. Autrement dit, c'est aider la personne formée à découvrir le Christ comme chemin de vie; comment la vie et l'enseignement du Christ dans les Evangiles peuvent l'aider à donner un sens à la vie en général et à sa vie en particulier.
Toutefois, il y a des moyens qui peuvent s'avérer utiles dans cette entreprise délicate, la formation chrétienne. Nous nous contentons ici d'en énumérer quelques-uns:
- examiner et comprendre les aspirations et interrogations des jeunes
- leur faire découvrir le Christ comme Dieu incarné, c'est-à-dire un Dieu qui a pris notre condition d'homme et donc capable d'ampathie, de prendre en compte notre personne dans toutes ses dimensions.
-intéresser les enfants et les jeunes. Cela peut se faire de diverses manières: la rythmo-cathéchèse par exemple.
A suivre...
Formation chrétienne en contexte de laïcité: une gageure?
choix de l'enseignement catholique: motivation religieuse?
Toutefois, nous ne devons pas oublier que ces motivations spitituelles existent encore. Il y a des parents qui devant le risque de laïcisation et de sécularisation tiennent à assurer à leurs enfants une éducation chrétienne ou simplement spirituelle ( le cas de certains musulmans qui inscrivent leurs enfants dans l'enseignement catholique).
Quelles que soient les motivations des gens, l'enseignement catholique devrait veiller à une double exigence:
- être attentif à ne pas se laisser couler dans une sorte d'assimilation
- et par conséquent, tenir le cap de son projet éducatif dans son caratère propre qui suppose une propsition claire et courageuse des valeurs chrétiennes.
Il peut suffir de semer sans relâche; nul ne peut imaginer la suite d'une entreprise d'éducation dans les coeurs, les consciences, dans la vie future des individus...
(à suivre)
jeudi 12 mars 2009
Comparaison Enseignement public / Enseignement privé
- mêmes objectifs: l'éducation des enfants
- mêmes formations, mêmes concours, mêmes programmes
Les différences:
- prise en compte de l'enfant comme un être multidimensionnel (intellectuel, moral, physique, humain, spirituel...)
- au niveau de l'encadrement et de la discipline
- au niveau des résultats
- les coûts
- carte scolaire: sectorisation et contournement
- au niveau de la sécurité
- la communauté éducative
Comment se fait le choix de l'un ou de l'autre?
- par obligation (impossibilité de contourner la carte scolaires par manque de moyens, d'informations...)
- par rapport aux "avantages" liés à l'enseignement privé
La question qui se pose: l'enseignement privé a-t-il tous les avantages qu'on lui décerne? Le public a-t-il tous les défauts qu'on lui reproche? La réussite ou l'échec d'un enfant est-il lié au type d'enseignement dans lequel il est formé?
Vous pourriez donner votre point de vue.
Sur ces questions on peut lire avec intérêt l'article de Caroline BRIZARD, "Pédagogie, résultats, effectifs... Ecole : Le match public / privé", paru dans le Nouvel Observateur n°2151 du 26 janvier 2006. (http://enseignement.nouvelobs.com/article.html?id=293159&mag=obs)